À Toulon, loin des plages fréquentées et des parties touristiques, dans une ruelle encaissée entre des murs pâles rongés par le conscience, vivait une femme que l’on appelait librement Liora. On disait d’elle qu’elle savait déchiffrer le destin non dans les cartes, ni dans les oracles, mais dans les énoncés https://martinhrzqf.izrablog.com/34719632/le-feu-des-contours