Chaque soir, Liora ravivait le feu dans l’âtre rondelette au milieu de son manufacture. Elle y jetait les extraits de cuivre en calme, donnant les ambitions danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rite. C’était une inspiration lente, une tradition née d’un geste ancien répété à toute heure. https://holdenvrhvj.blgwiki.com/1378401/les_lignes_qui_persistent