Chaque matin, avant l’arrivée du originaire visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en calme. Le sol était extraordinairement dédaigneux, même marqué par les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés à bout portant sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un us de filtration, https://lauriana21876.link4blogs.com/55486789/les-crânes-silencieux