Les spores du Namtar flottaient chaque jour dans l’atmosphère moite de la forêt, suspendues entre les couches de lumière et de brouillard. Invisibles à l’œil nu, elles dessinaient des schémas complexes dans l’air, modifiant l’état perceptif de ce qui les respiraient. Dans un plafond carré, qui entourent quelques clairières, la https://arthurweiln.blogozz.com/33221152/la-sommière-des-premiers-haleine