La nuit étendait son voilage sur la ville, dissimulant les formes des bâtiments marqué par un drap d’obscurité mouvante. Dans un maison exigu, perché au dernier étage d’un immeuble fatigué, Lazare observait le téléphone posé sur la table. Il n’était ni moderne ni traditionnel, un ample appareil aux touches effacées https://holdenwbdgi.blogsumer.com/32884733/les-résonances-du-silence-de-la-voyance-par-téléphone-audiotel-par-jolie-voyance